Oh la joie de ma perte
La dérive de mon âme, une incandescence
Dès le premier soir mon âme est portée
Par le reflux du déluge.
Fatigué. Comment remonter les courants de la vie ?
Mon coeur s’est laissé porter par les effluves.
J’ai crée avec ton regard tout un monde
Au bout du monde.
J’ai construit un château de rimes
Sur les dunes de tes lèvres.
J’ai bu à la source de ton désir
Je me suis désaltéré dans l’onde de tes paroles
Un don absolu.
Bougdal Lahsen

Retour à l'accueil