De la ville des remparts léchée par les vents alliés
Je nourris le souvenir doux d’une étoile aimée
La folie des senteurs agréables d’un temps apaisé
Et le chant d’amour de la sagesse estampillé.

Ton regard innocent ; un gracieux havre de paix
A la majesté mystérieuse des princesses vénérées
Douce et noble, tu es la délicatesse incarnée
Et ton candide sourire, mon beau jardin étoilé.

Copyright@2016 Bougdal lahsen
Le 16/12/2016

 

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