A la tombée de la nuit, tels les oiseaux nocturnes
à l'abri des regards et des langues trop bavardes,
ma douleur se réveille avec ses braises ardentes
et j'entends battre ses ailes contre les parois de mon coeur.

Soudain ton souvenir inextinguible revient m'assombrir
et le vent tumultueux de tes promesses à nouveau gronde
pour rappeler à mon innocence ta cruelle inclémence
Malgré ton insouciance telle une étoile perchée au firmament

je garde l'espoir d'éclairer de ton éclat une part de ma nuit.

Bougdal lahsen
Paris, le 22/08/2016

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